LE DÉVELOPPEMENT DURABLE : un engagement concret pour WINDSOR !

WINDSOR a pris l’habitude de faire des entrées spectaculaires dans chacun des domaines d’intervention du groupe.
Il ne faut jamais oublier que la réussite d’un homme, c’est d’abord la réussite d’une équipe.

Ainsi, lorsque la société se lance dans les maisons en village dès sa création, elle réalise à SAINT-GERMAIN-lès-CORBEIL, au Sud de PARIS, un domaine privé et gardienné de 70 hectares dans lequel s’inscrivent 300 maisons individuelles et 100 appartements autour d’un parcours de golf de 18 trous ! Pour l’habitat collectif, ce sont près de 300 logements construits en plein centre de POISSY.
Lorsque WINDSOR aborde en 2002 les plateformes logistiques, la première, réalisée à ROISSY en BRIE en bordure de la FRANCILIENNE, comportera 40.000 mètres carrés.
Quelque temps après, WINDSOR a l’opportunité de mettre le cap sur l’immobilier bureaux. Sa première réalisation sera un immeuble neuf de 26.000 m2 à VELIZY. C’est une des spécificités de WINDSOR de frapper ainsi les trois coups dans le secteur où il intervient.
Pour l’environnement durable, il va en être de même. Jusqu’à présent WINDSOR ne s’est guère investi dans les labels et chartes. WINDSOR saisit l’opportunité d’une consultation organisée sur 30 maisons individuelles à CORMEILLES en PARISIS visant à la mise en oeuvre d’un nouveau label : le label suisse MINERGIE® qui n’existe pas en France mais dont l’objectif est de diviser par quatre -voire cinq- la consommation énergétique d’une habitation.

Le patron de WINDSOR définit le cap : “OK pour investir en temps et honoraires de bureaux d’études. Mais à deux conditions : les maisons doivent ressembler à des maisons et leur prix être celui du marché, malgré les surcoûts générés par cette nouvelle technologie”. C’est l’aménageur qui absorbera les 600 000 euros de surcoût, car la copie de WINDSOR a été tellement bonne qu’il a été déclaré lauréat de cette consultation. Ce qui a été possible une fois à titre expérimental devra trouver une solution raisonnable. Jean-Paul Massé suggère “Pour financer les 20.000 euros de surcoût technique, il conviendra de mettre en place un prêt sur 7-8 ans dont les mensualités correspondront à l’économie réalisée sur la facture énergétique”. C’est simple et facile à mettre en oeuvre. Ça sent bon le Grenelle de l’environnement ! Et les actions concrètes qui font bouger les choses.

> Pour en savoir plus : www.windsor.fr

Photos : © WINDSOR – sources : © Coolture 2008,

Laissez un commentaire