LA MAISON DES LUMIERES

A la recherche du bonheur

Depuis ses débuts, Didier van Cauwelaert cumule prix littéraires et succès public : Prix Del Duca pour son premier roman en 1982, prix Roger Nimier, prix Goncourt (« Un aller simple », 1994), Molière 1997 du meilleur spectacle musical (« Passe-Muraille »), Grand Prix du théâtre à l’Académie Française pour l’ensemble de son œuvre, Grand Prix des lecteurs du Livre de Poche « (La Vie interdite », 1999), Prix Femina Hebdo du Livre de Poche (« La Demi-pensionnaire », 2001), et plus récemment « Le père adopté » en 2007 et « La nuit dernière au XVème siècle » en 2008.
Dans les romans de Didier Van Cauwelaert, la manipulation agit toujours comme un révélateur. Transformer un homme ordinaire en héros de l’impossible, capable de faire voler ses limites en éclats pour redonner un sens à sa vie, tel est l’enjeu romanesque de La Maison des lumières.

Roman de Didier Van Cauwelaert
Editions Albin Michel

:: L’histoire ::
Imaginez qu’une peinture ait le pouvoir de vous rendre la femme de votre vie, telle qu’elle était avant qu’elle vous quitte…
A vingt-cinq ans, Jérémy Rex, boulanger à Arcachon, est entré dans un tableau de Magritte. Que s’est-il passé, pendant son bref arrêt cardiaque au milieu d’un musée ? Asphyxie du cerveau, hallucination causée par le mélange d’alcool et d’antidépresseurs, expérience aux frontières de la mort ? Censée avoir duré moins de cinq minutes, la nuit d’amour qu’il a vécue à l’intérieur de cette huile sur toile va faire basculer son destin.
De Venise à Créteil en passant par la forêt amazonienne et les bords du lac Léman, alternant les rites chamaniques et les protocoles inquiétants de l’Institut de recherche avancée sur le cerveau, Jérémy n’aura de cesse d’aller retrouver le bonheur entrevu derrière la façade de La Maison des lumières.
Mais ceux qui l’aident à explorer les états modifiés de conscience veulent-ils vraiment son bien ? Scientifiques et sorciers, marchands d’art et agents immobiliers, tous le manipulent dans leur propre intérêt, afin de récupérer le secret qu’il détient.
sources : © Albin Michel 2009

Laissez un commentaire