LA TERRIBLE VENGEANCE DU CHEVALIER D’ANZY
Un roman dans la tradition des grands romans épiques
Une histoire d’amour et de vengeance, chez les émigrés de la révolution française en Angleterre. Mais aussi portrait intime d’une noblesse qui se meurt et se déchire pour un pouvoir imaginaire.
Roman de François Cérésa
Editions Plon
:: L’histoire ::
Le Chevalier d’Anzy est un aristocrate aux sympathies révolutionnaires. Mais depuis longtemps la révolution ne pactise plus avec la noblesse, obligée de fuir en Angleterre pour sauver sa tête. C’est ainsi que le Chevalier d’Anzy pour quelques idées progressistes et malgré l’amour d’une femme, la belle Mary, est jeté à la mer avant d’arriver sur les terres d’Angleterre. Il survivra, et sous une autre identité, il cherchera à se venger dans l’atmosphère brumeuse de Londres infestée par les « mud-larks », ces chiffonniers de la Tamise. D’intrigues en complots, il rencontre le Baron, mercenaire défiguré par les Iroquois en Amérique ; le Rabbit, un étrange gamin qui vit dans un terrier et apprivoise les corbeaux ; l’Ecorcheur, un tueur redoutable ; le baron de la guillotine, un Français qui décapite les volailles en public. Sur sa route de sang, il croise également le comte d’Artois, le comte de Provence, le prince de Condé, sans compter les petits hobereaux désargentés, poussés au suicide ou obligés d’être laquais, artisans, maîtres d’armes, charbonniers… « La terrible vengeance du chevalier d’Anzy », sous le regard de Chateaubriand ou de Rivarol, avec ses rebondissements, sa secte luciférienne, ses polices secrètes, ses débauchés, s’inscrit dans la tradition des romans épiques d’Alexandre Dumas. Il y a le souffle, les intrigues, une héroïne blonde, Mary, une brune, Esther, l’amour, la passion, la trahison et un final digne des plus grands films d’aventures. Un grand film dans un grand livre qu’on ne lâche pas jusqu’au dernier mot.
sources : © Plon 2008