L’ART DIFFICILE DE NE PRESQUE RIEN FAIRE

Une poésie quotidienne et lumineuse

Dans l’esprit de « Petit traité de désinvolture », qui révéla Denis Grozdanovitch en 2002 et qui obtient le prix de la Société des gens de lettres, « cet Art difficile de ne presque rien faire » aborde avec un humour délicieux l’une des questions insolubles de l’existence : comment protéger la jouissance de l’instant des innombrables aliénations qui la menacent ?
Denis Grozdanovitch, érudit et sportif professionnel a aussi fait paraître en 2005 « Rêveurs et nageurs » (José Corti) prix des Librairies Initiales, en 2006 « Brefs aperçus sur l’ éternel féminin » (Robert Laffont) prix Alexandre Vialatte, en 2007 « De l’art de prendre la balle au bond » (Lattès).

Documents de Denis Grozdanovitch
Editions Denoel

:: L’histoire ::
Vivre à son propre rythme dans un monde atteint de fébrilité, tel est le projet insensé qui court à travers ces pages. Lire des auteurs oubliés, jouer au tennis sans esprit de compétition, faire la sieste au fond du jardin, contempler un vol de grues, repenser aux rêves de la nuit : autant d’expériences mystérieuses que le bruit assourdissant de la planète rend aujourd’hui presque impossibles.
Quelque part entre la sagesse chinoise du tao et le désir d’enfance, avec un scepticisme assumé face aux délires de la consommation ou du sport-spectacle, Denis Grozdanovitch nous invite avec une poésie quotidienne et lumineuse sur des sentiers qui ne mènent nulle part.
sources : © Denoel 2009

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