N’OUBLIE PAS D’ÊTRE HEUREUSE

La fin d’une jeunesse libre et heureuse

Christine Orban a publié de nombreux romans aux éditions Albin Michel, dont « Fringues, Le Silence des hommes », « La Mélancolie du dimanche », « Deux fois par semaine… ». « N’oublie pas d’être heureuse » est un roman singulier et attachant où l’auteur a mis beaucoup d’elle-même mais où beaucoup se retrouveront. A mi-chemin de « L’Ame-sœur et de Fringues ». Un récit en deux temps, celui du bonheur simple et celui du déracinement, des désillusions et de la quête de soi, empreint de tendresse et de sagesse, de mélancolie et de lucidité.

Roman de Christine Orban
Editions Albin Michel

:: L’histoire ::
« Ma mère disait : N’oublie pas ton chapeau. Mon père disait : N’oublie pas d’être heureuse… » La cousine de la mère de Marie-Lila, Fifi, disait que le nirvana n’était envisageable qu’à condition « d’être mince et d’habiter Paris »… Habiter Paris, c’était quitter le Maroc et devenir « snob ». Grâce à Fifi la Parisienne dont les visites bouleversent leur vie paisible, le mot acquiert beaucoup d’importance dans la famille de Marie-Lila. Pour la jeune fille, c’est la certitude qu’une autre vie existe que celle menée à Fédala, au bord de l’océan, où elle ne connait que la plage, des parents attentifs et une amie d’enfance qui est son alter ego. Après le bac, Marie-Lila rejoint Fifi à Paris pour faire des études de droit. La rencontre d’un jeune aristocrate lui ouvre les portes d’un autre monde. Elle découvre alors les codes et les préjugés d’une caste dont elle ignore tout. Temps des désillusions, fin d’une jeunesse libre et heureuse dont elle ne savait pas qu’elle l’était…
sources : © Albin Michel 2009

Laissez un commentaire